Ce passage, dansé par Serge Campardon, sur le mouvement Allegretto de la Symphonie n°7 de Beethoven, me touche plus particulièrement, il me paraît dire l'Existence au coeur de l'Humain.
dimanche 26 mai 2019
Béjart - 1789 et nous
Étant adolescente, je me suis trouvée intensément bouleversée par ce ballet de Maurice Béjart, alors diffusé à la télévision nationale. Aujourd'hui, où mon désir d'art se déploie dans de multiples directions, je suis déçue de constater qu'il ne soit pas possible de le visionner en intégralité dans un enregistrement de qualité.
Ce passage, dansé par Serge Campardon, sur le mouvement Allegretto de la Symphonie n°7 de Beethoven, me touche plus particulièrement, il me paraît dire l'Existence au coeur de l'Humain.
Ce passage, dansé par Serge Campardon, sur le mouvement Allegretto de la Symphonie n°7 de Beethoven, me touche plus particulièrement, il me paraît dire l'Existence au coeur de l'Humain.
dimanche 19 mai 2019
Infinis
Si l'ombre de nos
murmures
s'efface
Entendrez-vous
le chant
qui déborde
mes lèvres brodées
en amor?
Lèverez-vous le ciel
de vos yeux fatigués
vers l'horizon
de nos trésors?
Je sais:
L'onde puissante
ne cessera
d'émettre
nos déroutants
accords.
Erell LeNoac'h, avril 2019
vendredi 10 mai 2019
Rien, en Poésie, ne s'achève. Tout est en route, à jamais.
En d'autres temps, d'autres termes, d'autres élans, la Poésie, comme l'amour, se réinvente par-delà toute prescription.
Ne sommes-nous pas, en premier lieu, des créatures éminemment poétiques?
Venues on ne sait d'où, tendues vers quelle extrémité? Pétries par le mystère d'un insaisissable destin? Situées sur un parcours qui ne cesse de déboucher sur l'imaginaire? Animées d'une existence qui nous maintient - comme l'arbre - entre terre et ciel, entre racines et créations, mémoires et fictions?
La Poésie demeurera éternellement présente, à l'écoute de l'incommensurable Vie.
Andrée Chédid, in Rythmes
En d'autres temps, d'autres termes, d'autres élans, la Poésie, comme l'amour, se réinvente par-delà toute prescription.
Ne sommes-nous pas, en premier lieu, des créatures éminemment poétiques?
Venues on ne sait d'où, tendues vers quelle extrémité? Pétries par le mystère d'un insaisissable destin? Situées sur un parcours qui ne cesse de déboucher sur l'imaginaire? Animées d'une existence qui nous maintient - comme l'arbre - entre terre et ciel, entre racines et créations, mémoires et fictions?
La Poésie demeurera éternellement présente, à l'écoute de l'incommensurable Vie.
Andrée Chédid, in Rythmes
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Nos Mains (poème)
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